Esta exposição das categorias está

Esta exposição das categorias está (em parte) fundamentada na apresentação do sistema filosófico de Peirce empreendida por Ibri (1992). Concordamos com a hipó-tese de Ibri acerca da “prevalência da fenomenologia” ou, em outras palavras, com a hipótese segundo a qual Peirce busca (com seu sistema filosófico) responder a pergunta “como deve ser o mundo para que ele nos apareça assim?” (IBRI, 1992). Isto é, “apareça assim” significa apareça como algo diretamente experienciável, diante de nossos olhos, como podemos constatar. Olhemos, nosso exemplo, para o mundo lá fora. O que vemos? Não algo muito diferente de “qualidades”, “formas” “coisas existentes”, “leis operativas podem ser inferidas das regularidades experienciadas” e assim por diante. Peirce partiria dos fenômenos, e procuraria, com base nos fenômenos, formular as condições (ontológicas) de possibilidade de “como o mundo deve ser para aparecer assim”.

Para Peirce (1958), a fenomenologia tem por objeto o fenômeno, ou o que apa-rece à consciência. Assim, a fenomenologia concentra-se na aparência, e não na realida-de que lhe subjaz. Peirce caracteriza o fenômeno como “[...] tudo aquilo que está, de qualquer modo, ou em qualquer sentido, presente na mente, desconsiderando se isto corresponde a qualquer coisa real ou não” (CP, 1.284)1. Sendo assim: (i) a percepção de um objeto é um fenômeno, (ii) um sonho é um fenômeno e (iii) um pensamento é um fenômeno. O que quer que seja proveniente dos sentidos, ou o que quer que seja pensá-vel, ou concebível, é um fenômeno. Um vocabulário o mais neutro possível (não com-prometido com juízos de existência) deve ser empregado na análise fenomenológica. O fenômeno pode ser investigado à luz de três categorias fundamentais: primeiridade (ou o modo de ser das qualidades), segundidade (ou o modo de ser das reações) e terceiridade (ou o modo de ser das conexões). Assim, por exemplo, experienciar o “céu azul” é, entre muitas outras coisas, (i) constatar a presença de uma qualidade (o azul), (ii) estar consci-ente de que o céu nos aparece como alguma coisa que não nós mesmos (o que não seria possível sem uma reação da percepção ao estímulo sensorial e sem a insistência do estímulo, “forçando sua percepção”), e (iii) constatar a estabilidade envolvida nesta experiência (dentro de variações cromáticas possíveis, o céu aparece regularmente como azul; e não, ora azul, ora vermelho e assim por diante.

Results (French) 1:

Cette exposition des catégories est (en partie) basée sur la présentation du système philosophique de Peirce entrepris par Ibri (1992). Nous sommes d’accord avec la thèse de différents colorants-Ibri sur la « prévalence de la phénoménologie » ou, en d’autres termes, l’hypothèse selon laquelle Peirce (avec son système philosophique) répondre à la question « Comment le monde doit-il afin qu’il apparaisse comme ça ? » (IBRI, 1992). C'est-à-dire « apparaît donc » veut apparaître comme quelque chose peut être vécu directement, sous nos yeux, comme nous pouvons le constater. Coup d’oeil, notre exemple pour le monde extérieur. Que voit-on ? Pas très différentes « qualités », « forme », « les choses », « droit des opérations peut être déduite des modèles expérimentés » et ainsi de suite. Peirce serait briser des phénomènes et trouver, sur la base des phénomènes, formuler la possibilité (ontologique) des conditions de « comment le monde devrait être à apparaître comme ça. » Pour Peirce (1958), phénoménologie a pour objet le phénomène, ou quelle conscience de rece apa. Ainsi, la phénoménologie ont porté sur l’apparence et non dans la réalité sous-jacente. Peirce caractérise le phénomène comme « [...] tout qui est, dans tous les cas, ou dans n’importe quel sens, présenter à l’esprit, sans tenir compte si elle correspond à quoi que ce soit vrai ou non "(CP, 1,284) 1. Donc : (i) la perception d’un objet est un phénomène, (ii) un rêve est un phénomène et (iii) une pensée est un phénomène. Tout ce qui vient du sens, ou tout ce qu’il est en train de réfléchir, ou concevable, est un phénomène. Un vocabulaire le plus neutre possible (non-promis avec jugements d’existence) doit être utilisé dans l’analyse phénoménologique. Le phénomène peut être étudié à la lumière de trois catégories fondamentales : primeiridade (ou la manière d’être des qualités), segundidade (ou la manière d’être des réactions) et Charles (ou la manière d’être des connexions). Ainsi, par exemple, expérience « ciel bleu » est, entre autres choses, (i) de noter la présence d’une qualité (bleu), (ii) être peu-être du ciel apparaît comme quelque chose d’autre que nous-mêmes (ce qui ne serait pas possible sans une réaction à la stimulation sensorielle et de perception sans l’insistance du stimulus, « forçant sa perception ») et (iii) confirmant la stabilité impliqués dans cette expérience (en variations chromatiques possibles , le ciel apparaît régulièrement comme le bleu ; et non, maintenant bleu, parfois rouge et ainsi de suite.

Results (French) 2:

Cette catégorie d'exposition est ( en partie) sur la base de la présentation du système philosophique de Peirce entrepris par Ibri (1992). Nous sommes d' accord avec l'Ibri d'hypo-thèse sur la «prévalence de la phénoménologie» ou, en d' autres termes, avec l'hypothèse que la recherche Peirce (avec son système philosophique) répondre à la question «comment le monde devrait être de sorte qu'il apparaisse dans la "(IBRI, 1992). Autrement dit, "apparaît comme" un moyen d' apparaître comme quelque chose directement experiencible devant nos yeux, comme nous pouvons le voir. Regardons notre exemple pour le monde extérieur. Ce que nous voyons? Pas quelque chose de très différent "qualités", "manières" "choses existantes", "lois opératoires peuvent être déduites de régularités expérimentés» et ainsi de suite. Peirce laisser des phénomènes, et de rechercher, sur la base des phénomènes, formuler les conditions (ontologiques) la possibilité de «comment le monde devrait être d'apparaître aussi bien."

Pour Peirce (1958), la phénoménologie est engagée dans le phénomène, ou ce que apa rece-conscience. Ainsi, la phénoménologie se concentre sur l' apparence et non en realida qui sous - tend. Peirce caractérise le phénomène comme «[...] tout est dans tous les cas ou dans tous les sens, cela à l' esprit, sans tenir compte si elle correspond à quelque chose de réel ou non" (CP 1284) 1. Par conséquent: (i) la perception d'un objet est un phénomène, (ii) un rêve est un phénomène et (iii) une pensée est un phénomène. Tout ce qui vient des sens, ou la pensée de niveau que ce soit, ou concevable, il est un phénomène. Un vocabulaire aussi neutre que possible (non-promis à l' existence de jugements) doit être utilisé dans l'analyse phénoménologique. Le phénomène peut être étudié à la lumière des trois catégories principales: priméité (ou le mode d'être des qualités), Secondéité (ou le mode d'être des réactions) et tiercéité (ou le mode d'être de connexions). Ainsi, par exemple, l' expérience du «ciel bleu» est, entre autres, (i) à noter la présence d'une qualité (bleu), (ii) être conscience-être que le ciel nous apparaît comme quelque chose qui ne nous ( ce qui ne serait pas possible sans une réaction de la perception à la stimulation sensorielle et sans l'insistance du stimulus, «forcer leur perception»), et (iii) établir la stabilité impliqué dans cette expérience (dans les possibles variations chromatiques, le ciel apparaît régulièrement en bleu, et non pas, parfois bleu, tantôt rouge et ainsi de suite.

Results (French) 3:

Catégories de cette exposition est (partiellement) sur la base de la philosophie proposée par le système de Peirce BIIR (1992).Nous sommes d"accord Hip ó BIIR papier "phénoménologique de taux", ou, en d"autres termes, et hypothèses de recherche (selon le système de la philosophie Peirce) de répondre à la question "Comment lui dans ton monde?"(BIIR, 1992).Cela signifie, "viens" experiencible quelque chose apparaît directement devant nous, on peut le voir.Tout d"abord, dans notre exemple, le monde extérieur.Que voyons - nous?Il n"y a rien de très différent de la "forme" de la "qualité", "les choses", "droit des opérations juridiques, etc. on peut déduire l"expérience".Pierce et briser le phénomène, selon le phénomène, la possibilité d"établir des conditions de "(ontologie) comme le monde est comme ça".Peirce (1958) de la phénoménologie, phénomène comme objet, ou de la prise de conscience reçues).Par conséquent, la phénoménologie, principalement en apparence, pas - il realida préréglée.Décrit comme "Peirce phénomène [...] tout, en tout cas, ou dans n"importe quel sens, c"est dans l"esprit des gens, et c"est égale à ou n"est pas quelque chose de vrai" (CP, 128,4) 1.Est telle que: i) d"un objet est un phénomène de perception, (II) un rêve est un phénomène, et (III) un est un phénomène de pensée.Qu"il s"agisse de sens, ou quel que soit le niveau, ou peut être un phénomène.Plus neutre possible d"un vocabulaire (employés de jugement et d"engagement n"existe pas) doit être de phénoménologique de l"analyse.Trois catégories de base de ce phénomène: selon la primeiridade (ou la qualité de la mode, segundidade est terceiridade de réaction et (ou) est relié de manière).Ainsi, par exemple, "bleu" expérience, beaucoup d"autres choses, (i) trouve une qualité (bleu), (II) dans la conscience humaine sont apparues dans le ciel, ce n"est pas lui - même (il n"est pas possible, pas une réaction au sens de la stimulation sensorielle et non irritation persiste, "leur perception"), et (III) déterminer la stabilité de participer à cette expérience (peut - être, à variation de chromaticité le ciel est bleu, il y a des lois; toutefois, il n"y a pas de bleu, rouge, et ainsi de suite.