“You cannot think without abstracti

“You cannot think without abstractions; accordingly, it is of the utmost importance to be vigilant in critically revising your modes of abstraction.”[1] The entire purpose and means of this essay is to use a variety of provisional abstractions to attempt to avoid mistaking the abstraction of reality for reality itself, or what Alfred North Whitehead refers to as the “Fallacy of Misplaced Concreteness.”[2] As stated in the quotation from Whitehead that opens this essay, one cannot think, describe, or write about anything without employing some kind of abstraction of that thing. It is essential to know how one has come to an abstraction so that when the time comes to understand it in its full context the abstraction can be dismantled in exact reversal of how it was built. The proper method of abstraction is like holding the waters of the ocean at bay to better study the shore, while remembering that one’s retaining wall is not actually a part of either the ocean or the shore, and that the ocean and shore create and define each other reciprocally.
This essay will explore Whitehead’s concepts of the separative, prehensive, and modal characters of space and time as put forward in Chapter IV “The Eighteenth Century” in his Science and the Modern World. The study I am undertaking is a nest of abstractions focusing on two pages within a chapter, set within a book, which is itself a written abstraction of the reality first spoken in lectures delivered by Whitehead in 1925, and now explored in an entirely different context eighty-seven years later. To grasp a concept is to feel it as an intuition, in Henri Bergson’s use of the term.[3] To bring it forth into thought or writing is like a layering of multiple images that provide refractions of the full picture but can never entirely represent the initial intuition. We shall proceed with this limitation in mind.
The foundational assumption of eighteenth century science, from Whitehead’s perspective, is the concept of “simple location” used when studying any kind of phenomenon. Whitehead defines simple location as follows:
To say that a bit of matter has simple location means that, in expressing its spatio-temporal relations, it is adequate to state that it is where it is, in a definite finite region of space, and throughout a definite duration of time, apart from any essential reference of the relations of that bit of matter to other regions of space and to other durations of time.[4]
To reconnect simple location with the reality surrounding and composing it, Whitehead draws forth three characters of space-time: the separative character, the prehensive character, and the modal character. These can also be conceived as six characters, three in reference to space and three in reference to time. The more the concepts are divided the easier it is to grasp their definitions but the further we retreat from their actual meaning.

Results (French) 1:

« Vous ne pouvez pas penser sans abstractions ; en conséquence, il est primordial d’être vigilant lors de la révision critique vos modes d’abstraction. » [1] le but entier et les moyens de cet essai consiste à utiliser une variété d’abstractions provisoires pour tenter d’éviter de confondre l’abstraction de la réalité pour la réalité elle-même, ou ce que Alfred North Whitehead appelle le « sophisme perdu concret ». [2] comme indiqué dans la citation de Whitehead qui ouvre cet essai, on ne peut pas pense, décrire ou écrire quoi que ce soit sans employer une sorte d’abstraction de cette chose. Il est essentiel de savoir comment on est arrivé à une abstraction afin que lorsque vient le temps de le comprendre dans son contexte l’abstraction peut être démontée en inversion exacte de la façon dont il a été construit. La bonne méthode d’abstraction est comme détenant les eaux de l’océan à la baie de la meilleure étude du rivage, tout en se souvenant qu’on conserve les mur n’est pas en fait une partie de l’océan ou le rivage et que l’océan et la rive créer et définissent l’autre réciproquement.Cet essai explore des concepts de la séparation, de Whitehead bler et caractères modales de l’espace et le temps comme présenté dans le chapitre IV « The Eighteenth Century » dans sa Science et le monde moderne. L’étude que j’entreprends est un nid d’abstractions, en se concentrant sur deux pages dans un chapitre, dans un livre, qui est lui-même une écrite abstraction de la réalité tout d’abord parlée en cours envoyées par Whitehead en 1925 et maintenant exploré dans un contexte entièrement différent Quatrevingt-sept ans plus tard. Pour saisir un concept est pour le sentir comme une intuition, dans l’utilisation du terme de Henri Bergson. [3] pour le mettre de suite en pensée ou en écrivant est comme une superposition de plusieurs images qui fournissent des réfractions de l’image complète, mais ne peut jamais tout à fait représenter l’intuition initiale. Nous allons procéder avec cette limitation à l’esprit.L’hypothèse fondamentale de la science du XVIIIe siècle, du point de vue de Whitehead, est le concept de « emplacement simple » utilisée lors de l’étude de n’importe quel genre de phénomène. Whitehead définit emplacement simple comme suit :Pour dire qu’un peu de matière a lieu simple signifie que, en exprimant ses relations spatio-temporelles, c’est suffisant pour affirmer que c’est où il est, dans une région finie précise de l’espace et pendant une durée déterminée de temps, en dehors de toute référence essentielle des relations de ce peu de matière à d’autres régions de l’espace et aux autres durées de temps. [4]Pour vous reconnecter à emplacement simple avec la réalité qui entourent et qui la composent, Whitehead attire de suite trois caractères de l’espace-temps : le caractère séparateur, le caractère exhaustif et le caractère modal. Ceux-ci peuvent également être considérées comme six personnages, trois en référence à l’espace et trois en ce qui concerne le temps. Plus les concepts sont divisent plus il est facile de saisir leurs définitions, mais plus on se retirent de leur signification réelle.

Results (French) 2:

"Vous ne pouvez pas penser sans abstractions; en conséquence, il est de la plus haute importance d'être vigilant lors de la révision critique vos modes d'abstraction. »[1] Le but entier et des moyens de cet essai est d'utiliser une variété d'abstractions provisoires pour tenter d'éviter de confondre l'abstraction de la réalité pour la réalité lui - même, ou ce que Alfred North Whitehead appelle le «sophisme de Misplaced Caractère concret." [2] comme indiqué dans la citation de Whitehead qui ouvre cet essai, on ne peut pas penser, décrire ou écrire quoi que ce soit sans employer une sorte d'abstraction cette chose. Il est essentiel de savoir comment on en est venu à une abstraction de sorte que lorsque vient le temps de le comprendre dans son contexte l'abstraction peut être démonté en inversion exacte de la façon dont il a été construit. La bonne méthode d'abstraction est comme tenir les eaux de l'océan à la baie pour mieux étudier la rive, tout en rappelant que son mur de soutènement ne sont pas en fait une partie de l'océan ou de la rive, et que l'océan et la terre créer et définir chaque réciproquement.
Cet essai explorera les concepts de Whitehead du séparatif, exhaustif, et les caractères modaux de l' espace et le temps comme mis en avant dans le chapitre IV «le dix - huitième siècle" dans sa science et le monde moderne. L'étude que je entreprends est un nid d'abstractions se concentrant sur ​​deux pages dans un chapitre, situé dans un livre, qui est lui - même une abstraction écrite de la réalité première parlée dans des conférences données par Whitehead en 1925, et maintenant exploré dans un contexte entièrement différent quatre-vingt-sept ans plus tard. Pour saisir un concept est de se sentir comme une intuition, dans l'utilisation de Henri Bergson du terme. [3] pour l' amener en avant dans la pensée ou de l' écriture est comme une superposition de plusieurs images qui fournissent des réfractions de l'image complète mais ne peut jamais représenter entièrement l'intuition initiale. Nous procédons à cette limitation à l' esprit.
L'hypothèse fondamentale de la science du XVIIIe siècle, du point de vue de Whitehead, est le concept de «location simple» utilisé lors de l' étude tout type de phénomène. Whitehead définit l' emplacement simple , comme suit:
Pour dire que un peu de matière a lieu simple , signifie que, dans l' expression de ses relations spatio-temporelles, il est suffisant de dire qu'il est là où il est, dans une région finie définie de l' espace, et tout au long une durée de temps déterminée , en dehors de toute référence essentielle des relations de ce morceau de matière à d' autres régions de l' espace et à d' autres périodes de temps. [4]
pour reconnecter emplacement simple avec la réalité environnante et qui la composent, Whitehead qui tire trois caractères de l' espace-temps: le caractère séparatif, le caractère exhaustif et le caractère modal. Ceux - ci peuvent également être conçus comme six personnages, trois en référence à l' espace et trois en référence au temps. Plus les concepts sont divisés plus il est facile de saisir leurs définitions , mais plus nous retirer de leur signification réelle.