Any such argument is based on the p

Any such argument is based on the possibility of bare negation, which is no possibility at all (1). There must be, as we have seen, some positive ground for the negation of the predicate. Consequently, if I say that the real does not contradict itself, I am not making a statement about nothing. In fact, I am saying that the real has a positive aspect which removes the possibility of contradiction. If this were not so, I could not make any negative judgement.
This objection, however, may be stated in another form. The criterion itself is no doubt positive; but for our knowledge, and in effect, it is merely negative. "The criterion is a basis, which serves as the foundation of denial; but, since this basis cannot be exposed, we are but able to stand on it and unable to see it." (2). Bradley admits that such an objection is plausible, if by the nature of reality we mean its whole nature. But he denies that his standard gives no positive knowledge about reality. If the standard exists, and rejects inconsistency, surely we must have some positive knowledge.
If our standard denies inconsistency, then, as we have said, the positive ground upon which this negative judgement rests must be the assertion of consistency. Reality then possesses a positive character, but so far this character is determined only as that which excludes contradiction.
It is, however, possible to say more. We have already seen that all appearance must belong to reality. For whatever appears is, and cannot fall outside the real. If we combine this with our criterion we find that everything that appears is somehow real in such a way that it is self-consistent. "The character of the real is to possess everything phenomenal in a harmonious form." The mass of phenomenal diversity must somehow be a unity and self-consistent; for it cannot be elsewhere than reality, and reality excludes discord.

Results (French) 1:

Un tel argument repose sur la possibilité de négation nue, ce qui n'est pas possible à tous (1). Il doit y avoir, comme nous l'avons vu, certains masse positive pour la négation du prédicat. Par conséquent, si je dis que le real ne contredise pas elle-même, je ne fais pas une instruction pour rien. En fait, je dis que le real a un aspect positif qui supprime la possibilité de contradiction. Si c'était pas le cas, je ne pouvais pas faire aucun jugement négatif.Cette objection, toutefois, peut-être être indiquée sous une autre forme. Le critère lui-même est sans aucun doute positif ; mais à notre connaissance et en effet, c'est purement négatif. "Le critère est une base, qui sert de base de refus ; mais, étant donné que cette base ne peut être exposée, nous sommes mais capables de se tenir dessus et impossible de le voir. » (2). Bradley admet qu'une telle objection est plausible, si nous entendons, par la nature de la réalité, son caractère entier. Mais il nie que sa norme ne donne aucune connaissance positive sur la réalité. Si la norme existe et rejette l'incohérence, sûrement, nous devons avoir une connaissance positive.Si notre norme refuse l'incohérence, alors, comme nous l'avons dit, la masse positive sur laquelle repose ce jugement négatif doit être l'affirmation de la cohérence. Réalité possède alors un caractère positif, mais jusqu'à présent, ce personnage est déterminé seulement que celui qui exclut la contradiction. Toutefois, il est possible d'en dire plus. Nous avons déjà vu que toute apparence doit appartenir à la réalité. Pour tout ce qui apparaît est et ne relèvent pas le réel. Si l'on combine cela avec notre critère, nous trouvons que tout ce qui apparaît est en quelque sorte réel de telle sorte qu'il est autocohérente. « Le personnage de réel doit posséder tout phénoménal sous une forme harmonieuse. » La masse de la diversité phénoménale doit être en quelque sorte une unité et auto-cohérent ; car il ne peut pas être ailleurs que la réalité et exclut les discordes.

Results (French) 2:

Un tel argument est basé sur la possibilité de la négation nue, qui est aucune possibilité (1). Il doit y avoir, comme nous l'avons vu, un peu de terrain positif pour la négation du prédicat. Par conséquent, si je dis que le réel ne se contredit pas, je ne fais pas une déclaration à propos de rien. En fait, je dis que le vrai a un aspect positif qui élimine la possibilité de contradiction. Si cela était pas ainsi, je ne pouvais pas porter un jugement négatif.
Cette objection, cependant, peut être déclaré sous une autre forme. Le critère lui-même est sans aucun doute positif; mais pour notre connaissance, et en effet, il est seulement négative. "Le critère est une base, qui constitue le fondement de la négation, mais, depuis cette base ne peut pas être exposé, mais nous sommes en mesure de se tenir debout sur ​​elle et incapable de voir." (2). Bradley admet qu'une telle objection est plausible, si, par la nature de la réalité, nous entendons toute sa nature. Mais il nie que son niveau ne donne aucune connaissance positive de la réalité. Si la norme existe, et rejette l'incohérence, sûrement, nous devons avoir une certaine connaissance positive.
Si notre niveau nie incohérence, alors, comme nous l'avons dit, la masse positive sur laquelle ce négatif repose un jugement doit être l'affirmation de la cohérence. Réalité possède alors un caractère positif, mais jusqu'à présent, ce caractère est déterminé seulement en ce qui exclut la contradiction.
Il est toutefois possible d'en dire plus. Nous avons déjà vu que toute apparence doit appartenir à la réalité. Pour tout ce qui apparaît est, et ne peut pas tomber en dehors du réel. Si nous combinons cela avec notre critère, nous constatons que tout ce qui apparaît est en quelque sorte réel d'une manière telle qu'il est auto-cohérent. "Le caractère du réel est de posséder tout phénoménale dans une forme harmonieuse." La masse de la diversité phénoménale doit en quelque sorte être une unité et auto-cohérent; car il ne peut pas être ailleurs que de la réalité, et la réalité exclut la discorde.

Results (French) 3:

un tel argument repose sur la possibilité de simple négation, qui n'est pas une possibilité à tous (1).il doit être, comme nous l'avons vu, un motif de la négation de la principale.par conséquent, si je dis que le real n'est pas en contradiction avec lui - même, je ne suis pas faire une déclaration à propos de rien.en fait,je dis que le real a un aspect positif qui supprime la possibilité de contradiction.si ce n'était pas le cas, je ne pourrais pas faire tout jugement négatif. toutefois, cette opposition peut être indiqué dans un formulaire.le critère est certes positive, mais à notre connaissance, et en effet, c'est purement négative. "le critère est une base, qui sert de fondement de refus; mais,depuis cette base ne peuvent être exposés, nous sommes capables de rester debout et incapable de voir. "(2).bradley reconnaît qu'une telle objection est plausible, si la nature de la réalité, on entend l'ensemble de sa nature.mais il nie que son niveau ne donne aucune connaissance de la réalité.si la norme existe, et rejette l'incohérence, il doit avoir une certaine connaissance.