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Pour refuser le processus lui-même est un ensemble tout en affirmant les résultats du processus dans son ensemble, poserait un sérieux problème avec le statut ontologique de la multiplicité du sujet/superjects qui sont en quelque sorte dans un processus, mais n'a pas encore augmenté ensemble dans tout nouveau. Ces entités seraient Cliver nature dans deux ultimates autosuffisantes : unités (1) ce qu'on appelle ce processus et de prendre d'autres en tant qu'objets, mais pas comme pièces depuis ces processus "unités" ne sont pas encore de touts d'avoir des pièces et les unités (2) statiques (les objets eux-mêmes) qui doivent être entières (même s'ils sont "dans" un processus), puisqu'ils ne sont pas encore parties de n'importe quel ensemble. Mais "il ne peut y avoir aucune"beaucoup de choses"qui n'est pas subordonnés à une unité de béton" (processus 211), et toutes les unités de béton sont des processus/ensembles.Afin de maintenir une dipolarité du processus et de la permanence, plutôt qu'un dualisme incohérent de ces principes, quelle que soit, il existe à la fin d'un processus/tout doit être soutenue par un autre processus, c'est-à-dire doit être une partie de certains nouveaux créer ensemble. Pour faire une partie doit être un objet, et pour être un objet doit être une partie. Tous les trous sont parties, et toutes les pièces sont dans les trous. Donc, si une entité réelle satisfaite est objectivée (comme il se doit), c'est une partie dans un autre processus/ensemble. "Chaque fois qu'un dualisme vicieux apparaît, c'est en raison de la confondre avec une abstraction pour un final fait de béton" (aventures 192). Le concret complet est le processus. Son résultat n'est pas ensemble, mais une abstraction, c'est-à-dire une partie dedans, qui remplacent les ensembles concrets.Le mantra d'autre clause, « les nombreux... sont [devenir] augmentée d'une unité, "désigne le processus interne de croissance temporelle qui, lorsqu'il a terminé sa création, décède en laissant un nouveau, c'est-à-dire, un nouvel objet pour le monde qui remplace. Un tout nouveau existe dès que les nombreux sont objectivées au sein d'un nouveau processus de transition. Les nombreux deviennent parties d'un ensemble (une unité subjective) lors de la création de l'entité réelle ou il n'y a aucune nouvelle entité réelle. Bien que Whitehead donne une attention considérable à la croissance génétique, comment une entité réelle prend sa source à la transition de la subjectivité du plus grand nombre à la nouvelle subjectivité de celui qui remplace, reste relativement non. Peut-être peu peut être dit, mais cette transition qui provient d'un processus nouveau/tout doit être soigneusement distinguée du processus créatif qui provient d'une objet/partie nouvelle, un un des nombreux qui est objectivé dans d'autres.Une entité réelle doit être ensemble tout au long de son processus de création, car une multiplicité ne peut viser un résultat (processus 30). Seulement touts peuvent s'étendre plus et prendre une multiplicité simultanément et pourtant ont un seul but. Ensemble montre l'unité propositionnelle : nombreux sont sujet composé de la proposition ; l'objectif est le prédicat simple de la proposition (processus 257). Cette comparaison d'une entité réelle à la structure d'une proposition linguistique peut être trompeuse, toutefois, puisque la plénitude concrète d'un processus est la création de sujet (qui est plus proche du prédicat simple sur le plan linguistique) et les parties de l'objet/ensemble sont des objets (les sujets sur le plan linguistique). Dans une entité réelle conçue dipolarly en béton, l'un (subjectivité créatrice) inclut les nombreux (sujets objectivés) comme pièces.
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