2. A perspectiva da mônada como der

2. A perspectiva da mônada como derivação da onisciência divina

O perspectivismo pode ser concebido anagogicamente não somente em relação à vontade divina, isto é, como conseqüência do princípio do melhor, mas também relativamente ao seu entendimento. Assim como na prova ontológica fornecida por Leibniz (24) há um movimento de ascensão, sendo que, na ausência de outro meio para pensar as perfeições divinas, elas são concebidas em analogia com as nossas, mas em grau infinito, também o fundamento da natureza representativa de todas as substâncias criadas deve ser procurado naquilo que possui esta mesma perfeição de forma eminente: “a causa pela qual sucede que todas as mentes estejam relacionadas ou expressem o mesmo e existam de tal maneira, é aquela que expressa perfeitamente, isto é, Deus” (25). É importante notar que a Divindade não é aqui pensada pelo viés da sua vontade, pois não se trata de justificar moralmente a aptidão natural que as substâncias criadas têm de expressar o universo inteiro de um determinado ponto de vista, mas de designar qual o original de onde emanam estas variações. O que Leibniz indica, portanto, no trecho acima citado, é que a faculdade perceptiva das mônadas provém da onisciência divina, que consiste no grau máximo de conhecimento:

“Deus produz diversas substâncias conforme as diferentes perspectivas que tem do universo e, por sua intervenção, a natureza própria de cada substância implica que o que acontece a uma corresponda ao que acontece a todas as outras, sem que ajam imediatamente umas sobre as outras (...) Pois Deus, virando, por assim dizer, de todos os lados e maneiras o sistema geral dos fenômenos que considera bom produzir para manifestar a sua glória, e observando todos os aspectos do mundo de todas as formas possíveis (porque não existe nenhuma relação que escape à sua onisciência), faz com que o resultado de cada visão do universo, enquanto contemplado de um certo lugar, seja uma substância expressando o universo conforme a essa perspectiva, desde que Deus ache conveniente realizar o seu pensamento e produzir esta substância. E como a visão de Deus é sempre verdadeira, as nossas percepções igualmente o são, mas nossos juízos, que são apenas nossos, nos enganam.” (26)

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2. la perspective de la monade comme dérivant de l'omniscience divine La normative peut être conçu anagogicamente non seulement à l'égard de la volonté divine, c'est-à-dire, comme conséquence du principe du meilleur, mais aussi pour sa compréhension. Ainsi que la preuve ontologique fournie par Leibniz (24) il y a un montée du mouvement, étant que, en l'absence d'autres moyens de penser des perfections divines, elles sont conçues en analogie avec les nôtres, mais en degré infini, aussi la Fondation de la nature représentative de toutes les substances créées doit être recherchée dans ce qu'a cette perfection même si éminente : « ce qui se passe à tous les esprits sont liés ou expriment la même chose et existent de telle façon, est celui qui exprime parfaitement, c'est Dieu » (25). Il est important de noter que la divinité ne vise pas ici par le biais de sa volonté, parce qu'il ne doit ne pas justifier moralement l'aptitude naturelle que les substances créées devront faire part de tout l'univers d'un point de vue particulier, mais pour désigner ce que l'original d'où émanent ces variations. Ce que Leibniz indique, par conséquent, dans le passage ci-dessus cité, est que collège perceptive des monades proviennent omniscience divine, qui est le degré maximum de connaissances :"Dieu a produit diverses substances selon différents points de vue de l'univers et, par son intervention, la nature de chaque substance implique que ce qui se passe à l'un correspond à ce qui se passe à tous les autres, sans agir immédiatement les uns des autres (...) Car Dieu, devenant, en quelque sorte, de tous les côtés et tous les moyens le système général des phénomènes qui estime bon produit pour manifester sa gloire et de l'observer tous les aspects du monde par tous les moyens (car il n'y a pas de relation qui échappe à son omniscience), causes le résultat de chaque vue de l'univers, tel qu'envisagé d'un certain endroit , est une substance exprimant l'univers selon cette perspective, depuis Dieu trouver pratique pour réaliser votre façon de penser, produire cette substance. Et comme la vision de Dieu est toujours vraie, nos perceptions sont aussi, mais nos jugements, qui sont juste de la nôtre, nous trompent. » (26)

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2. Le point de vue de la Monade comme dérivation de l'omniscience divine Perspectivisme peut être conçu anagogicamente non seulement par rapport à la volonté divine, qui est, comme une conséquence du principe de mieux, mais aussi quant à leur compréhension. Ainsi que la preuve ontologique fournies par Leibniz (24), il ya un mouvement vers le haut, et en l'absence d'autres moyens de penser des perfections divines, ils sont conçus de manière analogue à la nôtre, mais en degré infini, aussi le fondement de la nature représentatif de toutes les substances créées doit être recherchée dans ce qui a cette même perfection par voie d'éminence, "la raison pour laquelle il se trouve que tous les esprits sont connectés ou expriment le même et là, dans une telle manière, est celui qui exprime parfaitement, qui est, Dieu »(25). Il est important de noter que la divinité est pas là pensé que le biais de sa volonté, car elle ne justifie moralement la capacité naturelle que créé substances ont pour exprimer l'univers entier à partir d'un point de vue particulier, mais de désigner qui l'original qui émanent de ces variations. Qu'est-ce que Leibniz indique ainsi dans le passage cité ci-dessus, il est que la faculté de percevoir des monades viennent de l'omniscience divine, qui est le degré de connaissances maximale: "Dieu produit différentes substances que les différents points de vue qui ont l'univers, et son discours La nature même de chaque substance implique que ce qui se passe à un correspond à ce qui se passe à tous les autres sans agir immédiatement sur ​​l'autre (...) Car Dieu, tournant, pour ainsi dire, de tous les côtés, et des moyens généraux du système de phénomènes qui considère bons produits de manifester sa gloire, et en observant tous les aspects du monde de toutes les manières possibles (car il n'y a pas de relation qui échappe à l'omniscience), rend le résultat de chaque vue de univers, comme il est prévu à partir d'un certain endroit, si une substance exprimant l'univers selon ce point de vue, puisque Dieu voir apte à mener à bien leur pensée et de produire cette substance. Et comme la vision de Dieu est toujours vrai, nos perceptions sont aussi, mais nos jugements, qui ne sont que la nôtre, nous trompe. "(26)

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2.à partir du point de vue omniscient liste

divine dérivé peut être conçu anagogicamente non seulement par rapport à la volonté de Dieu, c'est le meilleur, en principe comme résultat de compréhension, mais également relativement.Lors de la fourniture de la preuve ontologique, Leibniz (24), dans laquelle il y a un mouvement ascendant,En l'absence d'autres dieux. Ils pensent que notre conception est similaire, mais aussi, dans une certaine mesure est illimitée, tout ce truc de substances sur la base de la création du Représentant, devraient chercher à perfectionner cette excellente façon:"Tout est question de pensées ou de l'expression de la même, d'une manière telle, est l'expression la plus parfaite, c'est Dieu" (25).Je suis en notant l'importante, sans tenir compte de la volonté ici l'écart de Dieu.Pour des raisons qu'il n'est pas de morale, doué de l'expression de créer un angle spécifique de l'univers, mais c'est désigné dans ces changements.Cela montre que, dans son extension, par conséquent, mentionné ci - dessus, est de perception, de l'Université de liste est un Dieu de la connaissance, à savoir la connaissance le plus grand degré de:

"Dieu peut générer différentes substances différentes de l'univers, de substances naturelles de leur intervention en soi signifie que chaque correspondant à tout ce qui s'est passé à autre chose, n'a pas agi rapidement un autre Dieu, (...), pour ainsi dire,Système et procédé de phénomènes de tous les aspects de la gloire de son produit, on considère généralement que reflète bien, et note que le monde chaque aspect de toutes les manières possibles (car il n'y a pas de relation, omniscient échappement), de sorte que chaque envisagé du point de vue de l'univers, mais un bon endroitC'est le point de vue de l'univers d'une substance dont l'expression, mais je voudrais terminer mon idée et de produire cette substance.Comme un vrai Dieu a toujours été notre point de vue, aussi, mais notre jugement, on se trompe ". (26)