Hay aquí una suerte de paradoja, ya

Hay aquí una suerte de paradoja, ya que lo real es independiente de los pensamientos tuyos y míos, pero no es independiente del pensamiento en general. Para Peirce “The objective final opinion is independent of the thoughts of any particular men, but is not independent of thought in general. That is to say, if there were no thought, there would be no opinion, and therefore, no final opinión” (CP. 7.336). Peirce resuelve esta paradoja de la objetividad con un reinterpretación kantiana (CP 8.15), ya que el carácter objetivo de lo real radica en el hecho que es dependiente del pensamiento, pero no de algún pensamiento particular, sino del pensamiento en su carácter de generalidad. La verdad objetiva es entonces lo que representa la opinión final. Lo real está unido a la “opinión final”, fruto de una investigación ilimitada, y no al objeto externo.
Así las cosas, lo real posee en principio cinco rasgos fundamentales: 1) es independiente de lo que podamos pensar acerca de ello; 2) es independiente de nuestros sentimientos acerca de ello; 3) es el objeto representado como verdadero en la opinión final; 4) se corresponde con la opinión final a la que estamos destinados a llegar en el largo plazo, y 5) es aquello en lo que todos los investigadores estarán finalmente de acuerdo que es verdad.

Results (French) 1:

Il y a une sorte de paradoxe, car la réalité est indépendante de la pensée et le mien, mais n’est pas pensée indépendante en général. Pour Peirce » l’opinion finale objective est indépendante des pensées de n’importe quel hommes en particulier, mais n’est pas indépendante de la pensée en général. » « C’est à dire, s’il n’y a pas de pensée, il y aurait pas d’avis et par conséquent, aucun avis définitif » (cf. 7.336). Peirce résout ce paradoxe de l’objectivité avec une réinterprétation de Kantian (CP 8,15), étant donné la nature objective de la réalité réside dans le fait qu’est dépendant de la pensée, pas de pensée particulière, mais de la pensée dans son caractère de généralité. La vérité objective, c’est ce que représente le dernier mot. La vraie chose est attachée à « l’opinion finale », fruit d’une enquête illimitée et non à l’objet externe.(Ainsi les choses, elle a réel en traits de principe cinq fondamentaux : 1) est indépendante de ce que peut penser à ce sujet ; (2) il est indépendant de nos sentiments là-dessus ; (3) il est l’objet représenté comme réel dans le dernier mot ; ((4) correspond à l’avis final auquel nous sommes destinés à devenir à long terme et 5) qui dans lequel les chercheurs tous les acceptera enfin qui est true.

Results (French) 2:

Il est ici une sorte de paradoxe, car la réalité est indépendante de la vôtre et le mien pensées, mais pas indépendante de la pensée en général. Pour Peirce "Le retour objectif ultime est indépendante de la pensée de tous les hommes individuels, mais pas indépendante de la pensée en général. Autrement dit, s'il n'y avait pas pensé, il n'y aurait pas d' opinion, et par conséquent, aucun avis final "(CP. 7336). Peirce résout ce paradoxe de l' objectivité avec Kant de réinterprétation (CP 8.15), puisque l'objectif du caractère réel réside dans le fait que ce dépend sur la pensée, mais pas d'une pensée particulière, mais la pensée dans son caractère de généralité. La vérité objective est qu'elle puis qui représente l'opinion finale. . Le réel est attaché au «dernier mot», le résultat d'une recherche illimitée, et non pas l'objet externe
Donc, le vrai a en principe de cinq caractéristiques principales: 1) est indépendant de ce que nous pensons à ce sujet; 2) il est indépendant de nos sentiments à ce sujet; 3) l'objet est représenté comme vrai dans l'opinion finale; 4) il correspond à l'opinion finale à laquelle nous sommes destinés à arriver sur le long terme, et 5) est celui dans lequel tous les chercheurs conviennent que c'est enfin vrai.