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L'approche prend cet essai est inhabituel. Il utilise l'image du magicien dans le contexte de la métaphysique de processus, dans la tradition de Alfred North Whitehead, et la sémiotique de Charles Sanders Peirce, ou la science des signes. Il apporte dans la conversation aussi l'héritage du philosophe français Gilles Deleuze poststructuraliste (1925 à 1995). Certains de leurs conceptualisations sont explorées ici dans le but d'affirmer la fonction symbolique du magicien dans le monde naturel et d'expliquer la signification de ce signe. L'essai est pas tellement préoccupés par le processus même de l'interprétation des cartes de Tarot (ce qui dans le langage courant est appelé «lecture»), mais plutôt l'intention de construire l'ontologie qui rend une telle interprétation possible. En d'autres termes, le processus épistémique, ou un accès non orthodoxe à la connaissance impliquée dans tarot, est posé ici comme à la terre dans la métaphysique du processus de Whitehead et également soutenu par quelques conceptualisations récentes dans le domaine de la physique théorique (voir Stapp 2007), ce dernier en tournez inspiré par l'ontologie de Whitehead (Stapp 2007, 85-98; Shimony 1997, 144-60). Le cadre commun de pointe derrière ces apparemment disparates des idées, des disciplines, et les noms (en particulier lorsqu'ils sont accompagnés par des croyances qui semblent à première vue ésotérique) est le soi-disant science de paires complémentaires fondées sur le nouveau champ de l'enquête, à savoir, la dynamique de coordination (Kelso et Engstrom 2006; Kelso 1995). En fait, la figure du Magicien, en termes de la relation de Peirce de Tiercéité, est le symbole même d'une telle action ou mediation.2 coordination Selon Peirce, «la médiation est un véritable caractère d'un signe" (1860 au 1911, 2,92 ).
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