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Comme déjà remarqué, Whitehead du premier et dernier appel à des preuves empiriques est aux faits omniprésentes communes dans l'expérience de chacun. Et il est convaincu que sa philosophie de l'organisme peut principalement être étayée par ces faits. « Mais si vous commencez francophone et francophile des faits immédiats de notre expérience psychologique, comme sûrement un empiriste devraient commencer, vous êtes à la fois conduit à la conception organique de la nature. » (SMW, p. 107). Cette déclaration est un signe avant-coureur de ce que Whitehead est postérieure à appeler le « principe de subjectiviste. » Il énonce ce principe diversement, par exemple : « Le principe de subjectiviste, c'est que l'univers tout entier se compose des éléments divulgués dans l'analyse des expériences des sujets. » (PR, 252) ou encore, « l'expérience subjective est la situation métaphysique primaire qui est présentée à la métaphysique pour l'analyse. » (PR, 243) Ce ne sont pas des déclarations d'empiriste simple sur toutes les connaissances étant fondée sur l'expérience. Whitehead accepte la position empiriste à cet égard, et il est impliqué dans sa compréhension du principe subjectiviste. Mais ce qui est invoqué ici est que la « situation métaphysique primaire » est la structure psychologique de l'expérience de l'homme. Ce principe affirme que l'analyse de cette structure révèle les facteurs qui illustrent le caractère ultime de toute l'actualité, à savoir le caractère métaphysique de l'actualité. En d'autres termes, une unité de l'expérience humaine fournit la première preuve quant à la nature métaphysique de la réalité.Whitehead crédits Descartes pour la découverte que la situation métaphysique primaire est le sujet d'expérience. « C'est le biais subjectiviste célèbre qui est entré en philosophie moderne, par le biais de Descartes ». (PR, 241). Cependant, Whitehead ne peut pas accepter la compréhension habituelle de cette doctrine, qui participe traditionnellement un faux dualisme entre l'expérience et de la nature. Comme il le comprendra Whitehead, ce dualisme était le résultat inévitable de l'acceptation de la structure de la substance-accident aristotélicienne comme ontologiquement ultime. Attitude de Whitehead vers la doctrine métaphysique de la substance est examinée dans la section suivante du présent chapitre. Il suffit maintenant simplement au point qu'il considérait cette doctrine pour s'établir à la base du dualisme qui a caractérisé le rationaliste et traditions empiriste de la philosophie moderne. Il a établi une dichotomie entre une substance sachant indépendant dont l'existence est qualifiée par l'expérience privée et une substance supposés connue dont l'existence et qualités n'est jamais immédiatement connue. La doctrine de la substance a ainsi vicié le biais subjectiviste de la philosophie moderne, et "c'est seulement par l'introduction d'incohérences dissimulées dans le principe subjectiviste [...] qu'il peut y avoir toute fuite de quels appels Santayana, « solipsisme du moment présent. »" (5)
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