Ainda desta forma, pode-se afirmar

Ainda desta forma, pode-se afirmar que as expressões que as mônadas possuem do universo são sempre verdadeiras, já que, uma vez que consistem em diferentes derivações da visão divina, estas percepções não poderiam envolver falsidade. Ora, uma vez que o fundamento da atividade expressiva das criaturas radica na onisciência divina, suas produções não lhe poderiam ser contrárias – sendo um determinado aspecto da visão de Deus, as expressões das substâncias criadas devem comportar consigo este caráter de veracidade. Mas, se é assim, como dar conta da origem do erro? Como Leibniz afirma no trecho aqui destacado, o erro e o engano não provêm das percepções, que se derivam da visão de Deus e são sempre verdadeiras, mas sim dos juízos, que são apenas nossos. Ora, tratar-se-ia da mesma posição da de Descartes, que localiza a origem do erro não na percepção considerada nela mesma, mas sim no juízo. Classificando os tipos de pensamentos que estão na mente, o autor das Meditações discerne as idéias, que são como puros quadros, isto é, puras imagens das coisas, que em si mesmas não envolvem qualquer falsidade, dos juízos, que são mais do que puras representações e envolvem a ação do espírito de afirmar ou negar (32). Essa distinção, por sua vez, recai na separação entre entendimento e vontade: enquanto aquele é limitado e não pode abarcar o infinito, esta é o que faz os homens serem a imagem e semelhança de Deus, já que não possui limites. Como o juízo envolve ambos, é a operação do pensamento que é suscetível de erro, pois “sendo a vontade muito mais ampla e extensa que o entendimento, eu não a contenho nos mesmos limites, mas estendo-a também às coisas que não entendo” (33).

Results (French) 1:

De cette façon, nous pouvons dire que les expressions qui ont des monades de l'univers sont toujours vraies, puisque, une fois qui comprennent différentes dérivations de vision divine, ces perceptions ne pourraient impliquer fausseté. Toutefois, depuis la Fondation de l'activité expressive des créatures s'enracine dans l'omniscience divine, ses productions ne vous serait contraire – étant un aspect particulier de la vision de Dieu, les expressions des substances créés doivent se comporter avec vous ce caractère de véracité. Mais, dans l'affirmative, comment tenir compte de la source de l'erreur ? Comment Leibniz dit dans le passage ici, l'erreur et l'erreur ne proviennent pas de perceptions qui dérivent de la vision de Dieu et sont toujours vraies, mais les jugements qui sont juste de la nôtre. Eh bien, il serait dans la même position de celle de Descartes, qui trouve la source de l'erreur en ne se ne considérait pas, mais dans l'esprit. Classer les types de pensées qui sont à l'esprit, l'auteur des méditations discerne les pensées, qui sont sous forme de trames pures, c'est-à-dire pures images des choses, qui, en elles-mêmes, ne comportent pas de n'importe quel mensonge, des jugements qui sont plus que des représentations pures et qui impliquent l'action de l'esprit d'affirmer ou de nier (32). Cette distinction, à son tour, repose sur la séparation entre la compréhension et le désir : alors que c'est limité et ne peut pas englober l'infini, c'est ce qui rend les hommes être l'image et la ressemblance de Dieu, car il n'a pas de limites. Car le jugement implique tous les deux, est la pensée qui est sensible à l'erreur, parce que « étant la plus large sera et vaste que comprendre, je ne vous retenez sur la même ligne, mais l'étendre à des choses, je ne comprends pas » (33).

Results (French) 2:

Même ainsi, il peut être dit que les expressions que les monades ont l'univers sont toujours vrai, car, une fois constitué de différentes dérivations de la vision divine, ces perceptions pourraient pas impliquer le mensonge. Maintenant, depuis la fondation de l'activité expressive de créatures réside dans l'omniscience divine, ses productions on ne pouvait pas être contraire - étant un aspect particulier de la vision de Dieu, les expressions de substances créées devraient se comporter avec ce caractère de véracité. Mais si oui, comment rendre compte de la source de l'erreur? Comme Leibniz dit dans le passage ici mis en évidence l'erreur et la tromperie ne vient pas de perceptions qui découlent de la vision de Dieu et qui sont toujours vrai, mais les jugements qui sont seulement les nôtres. Maintenant accord serait dans la même position de Descartes, qui localise la source de l'erreur dans la perception pas considéré en soi, mais dans le jugement. Classer les types de pensées qui sont dans l'esprit, l'auteur de Méditations discerner les idées qui sont aussi des cadres pures, qui est, pures images de choses, qui en eux-mêmes ne supposent pas de tout mensonge, des jugements, qui sont plus que pur représentations et impliquent l'action de l'esprit d'affirmer ou de nier (32). Cette distinction, à son tour, réside dans la séparation de compréhension et de volonté: que tout est limité et ne peut pas saisir l'infini, cela est ce qui rend l'homme l'image et ressemblance de Dieu, car il n'a pas de limites. Comme le jugement implique à la fois, il est le fonctionnement de la pensée qui est sensible à l'erreur, car «étant beaucoup plus large et vaste que la compréhension sera, je ne vais pas nous retenir limites, mais l'étendre aussi à des choses que je ne comprends pas" (33).

Results (French) 3:

On peut dire ça, il y a une liste d'expression de l'univers, c'est vrai, car il est constitué de différents, car dans ces de perception visuelle est sacré, ne participe pas à mentir.Toutefois, en raison de la présentation sur la base de l'activité biologique, est un Dieu de la connaissance,Le travail ne peut pas être violé, il est le Dieu de la vision d'un aspect particulier de l'expression de la substance de la création, qui devraient être des caractéristiques précises.Mais, si c'est le cas, la source d'erreur comment envisager?Ici, Leibniz appelé déployés en s'étendant d'erreur et des idées, si ce n'est pas à partir de la vision, notre Dieu, est toujours vraiMais notre jugement, c'est la seule.Maintenant, c'est la source de l'erreur de positionnement pour la même position de Descartes, sans tenir compte de mes sentiments, mais dans le jugement.Grâce à une idée, à l'idée de penser, auteur de pensée est comment identifier, c'est de la pure de la peinture, des photos des choses, elle ne contient aucune erreur.Jugement, que l'esprit pur et concerne représente positive ou négative (32).À son tour, cette distinction, que la séparation entre la compréhension et la volonté, c'est limitée et ne peut pas être infini, c'est l'homme est à l'image de Dieu et de style, parce qu'il n'y a pas de limite.Dans le procès concerne deux.L'action est la mauvaise idée, c'est possible, car "la volonté de comprendre, plus large et plus largement, je n'ai pas de disparaître dans le même champ d'application, mais aussi vers l'Ouest, vous ne comprenez pas dans" (33).